Publié le
4 avr. 2007
4 avr. 2007
Okaïdi produit les créations d’une étudiante de Esmod Roubaix
Publié le
4 avr. 2007
4 avr. 2007
L'une des silhouettes créée par Caroline Ostyn |
Les règles du concours étaient simples : les élèves en course devaient concevoir un vestiaire de deux tenues pour la fille et deux autres pour le garçon, chacune composée de deux ou trois pièces, sans compter les accessoires. Le thème de cette composition ? "Cérémonie à la plage" pour des vêtements mariant raffinement et décontraction. Un beau pari que les créateurs en herbe ont relevé et même surpassé puisqu’ils pouvaient aller jusqu’à imaginer des produits dérivés de leurs ensembles. Outre ces quelques indications, pas de restriction sur les matières ni de couleurs imposées.
De toutes les créations présentées, ce sont celles de Caroline Ostyn qui ont remporté le plus de suffrages. Etudiante à Roubaix, la jeune femme a imaginé quatre ensembles inspirés de l’esprit d’Okaïdi. Principalement conçue en lin et en coton, cette garde-robe lui a été inspirée par "Max et les Maximonstres", un livre dédié aux bambins, confie-t-elle.
Pour les garçons, on découvre pantacourts, blouson clair et tee-shirts aux zips légèrement décalés. Outre la fermeture éclair, une broderie reproduisant une boutonnière, elle aussi décalée, s’appose sur un autre haut.
Les filles peuvent quant à elles adopter un corsaire orné d’une petite bourse et une robe beige recouverte de pois blancs. Robe intelligemment conçue pour se transformer à la guise des enfants comme de leurs parents en une tunique resserrée sur les hanches de la fillette par un ruban. Des leggings viennent parfaire cette silhouette. S’ajoutent à cet ensemble aux allures festives une veste blanche et un haut sans manche blanc rehaussé de quelques touches turquoises.
Pour des prix allant de 7,50 à 24,90 euros, cette garde-robe estivale adopte tons clairs et matières naturelles. Alliant l’espièglerie enfantine et la coquetterie propre aux cérémonies, les créations de Caroline Ostyn vont être vendues et spécialement mises en beauté dans l’ensemble des trois cents boutiques françaises d’Okaïdi vers la mi-mai.
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