En pleine effervescence, le secteur de la joaillerie accueille un nouveau magazine. Destiné à une audience non professionnelle mais cultivée et urbaine constituée de leaders d’opinion et de CSP + entre 25 et 45 ans, il se positionne comme LE magazine qu’il manquait dans les kiosques.

Couverture du premier numéro de Please !

« J’ai été confrontée en tant qu’agent de photographes au secteur de la joaillerie, qui est un univers totalement magique, à fort potentiel onirique et j’ai été un peu étonnée de constater une certaine pénurie créative », confie Olivia da Costa, éditrice indépendante à l’origine de ce nouveau semestrielle.

Baptisé Please !, « clin d’oeil à une femme un peu impertinente qui demanderait des bijoux mais en disant quand même s’il vous plait », précise Olivia da Costa, il met un point d’honneur à chérir aussi bien l’image que le contenu éditorial.

Au fil de ses 260 pages, il s’habille d’une maquette soignée au papier épais et brillant, et s’entoure de photographes de renom pour un résultat toujours plus visuel et qualitatif. Tel un magazine de tendance, il décrypte les grands courants de la joaillerie et de la mode, et analyse l’univers du bijou sous différents axes : héritage et success stories des maisons, confessions de collectionneurs, portrait de designers, mythes et légendes de la joaillerie, récits et contes mystérieux de gemmes extraordinaires… L’aventure ne s’arrête pas là puisque Please ! n’hésite pas à traiter le bijou au travers des prismes de la culture, de l’art contemporain mais aussi du cinéma, de la gastronomie, du design et même du tourisme.

Diffusé à 22 000 exemplaires dont 15 000 en France et 7 000 à travers le monde (Royaume-Uni, Italie, Allemagne, Autriche, Belgique, Suisse, Espagne, Etats-Unis, Japon, Hong Kong, Thailande, Moyen-Orien, Emirats Arabes Unis, Brésil), Please ! s’accompagne d’un cahier de traduction anglais pour son audience internationale. Il fait son arrivée le 14 mai en kiosques mais aussi au sein de concept-stores et de librairies spécialisées, d’hôtels et de lounges de compagnies aériennes. Son prix ? 8 euros.

A l’heure où les ventes de bijoux ne se sont jamais aussi bien portées, où le rythme des collections s’accélère pour suivre au plus près le calendrier de la mode, où les maisons développent des lignes plus abordables afin d’attirer une nouvelle clientèle et où les marques de mode étendent leur gamme aux bijoux, Please ! s’impose comme une évidence et comble enfin le vide qui régnait au sein de l’offre magazine consacrée à la joaillerie. Merci !