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14 févr. 2019
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Balmain la joue grandiose pour sa nouvelle boutique parisienne

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14 févr. 2019

Il y avait foule ce jeudi 14 février au 374, rue Saint-Honoré à Paris, l’adresse où vient de s’inviter le nouveau flagship Balmain en lieu et place du magasin Zara.


Le flagship Balmain


Le directeur artistique, Olivier Rousteing, a fait appel au Studio AMV (Anna Philippou, Marie Prosperi et Victoire Guerlay) pour concevoir l’aménagement de la dernière boutique Balmain, sur un espace de 750 mètres carrés. Studio avec lequel il a notamment collaboré pour ses boutiques de Milan, Las Vegas et Miami, et qui signait en 2017 le bureau « tombe » tout en marbre du créateur.
 
La boutique – la plus grande de la griffe à ce jour -, où s'est déroulée en janvier le défilé Balmain, se déploie sur deux niveaux, l’ensemble imaginé comme un grand appartement parisien et inspiré par Versailles et sa galerie des Glaces.

Passé le porche d’entrée, la boutique présente un premier salon déclinant un mobilier tout miroir comme le plafond, un canapé Chesterfield noir et consoles marbrées accueillant la clientèle. Y sont concentrées ici les lignes de sacs et accessoires. 


La galerie coffre-fort


Dans son prolongement, un espace « galerie des coffres-forts » décline casquettes, pochettes, ceintures et foulards sous un grand lustre décidément très Versailles et un espace dédié aux souliers.
 
En prenant le grand escalier tout marbré s’ouvre l’espace dédié à l’homme avec parquet, grands miroirs, moulures et portants dorés pour accueillir les collections. Le salon dédié à la femme, plus grand, s’organise par couleur, décline les robes de soirée, les pièces plus casual et propose en exclusivité une ligne de tee-shirts logotypés « Balmain, 374 rue Saint-Honoré » tout en velours noir (295 euros pièce) et spécialement conçus pour l’inauguration du flagship.


L'espace hommes


Outre les larges cabines, équipées de peignoir pour les femmes, l’étage dédié au prêt-à-porter ajoute quelques pièces uniques, dont une robe tout miroir proposée à plus de 18 000 euros, ainsi qu'un espace d’expérience de réalité virtuelle.

Proposé aux bons clients du magasin, le casque permet d’assister comme si on y était aux derniers défilés de la maison et d’embarquer dans une aventure de cinq minutes baptisée « My City of Lights », un concept né de l’imagination d’Olivier Rousteing et déjà testé à Milan, invitant à découvrir les étages d’un château à l’univers décadent et aux impressions vertigineuses avec la voix off et l’accent frenchy du directeur artistique.

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