Max & Moi jette l'ancre à Deauville et Saint-Tropez

Auteur :

Tanissia Issad

Publié le
21 mai 2019

Après Megève, c’est au tour de Deauville et de Saint-Tropez d’accueillir leurs premiers magasins Max & Moi. La marque spécialiste du cachemire, du cardigan et du cuir, lancée en 2007 par Elie Lederer, multiplie les ouvertures et espère d’ici la fin de l’année 2019 inaugurer une autre boutique, dans une station balnéaire allemande cette fois-ci.
 

A Deauville, Max & Moi prend la place de la marque pour enfant Interdit de me gronder, au 66-68, rue Désiré Le Hoc, sur 60 mètres carrés. Si cette boutique est ouverte en propre, à Saint-Tropez, c’est en affiliation qu'a été inaugurée sur 100 mètres carrés au numéro 3 de l’avenue Foch.

En tout, il existe désormais 27 magasins Max & Moi, dont 60 % détenus en propre et la moitié à l’étranger. En plus, la griffe dispose de 300 distributeurs multimarques répartis équitablement entre la France et l’international, ainsi que d’un corner aux Galeries Lafayette Haussmann.
 

Parmi les best-sellers de Max & Moi, le legging en cuir. Introduit en 2013, il s’en vend près de 6 000 par an, de manière équilibrée entre les deux saisons. Avec sa forme unique et son cuir d’agneau hyper fin, il est vendu au prix fixe de 590 euros.

Grâce à ce produit, Max & Moi, qui a pour origine l’activité de fourreur et de pelletier de son ancêtre Max Lederer, débutée en 1925, se replonge dans ses racines. C’est pourquoi depuis peu, Elie Lederer et sa femme Emma, directrice artistique de la griffe, ont décidé de proposer la personnalisation de ce legging en boutique.
 
Après avoir choisi entre une vingtaine de coloris, les clientes devront attendre jusqu’à huit jours pour que ce produit fait main par des artisans parisiens leur parvienne. Leur confection dure en moyenne 1h20, nécessite jusqu’à 6,6 mètres de peaux et comporte deux étapes principales, la coupe et le montage. Repassé avant d’être conditionné, ce legging présente la particularité d’être lavable.